KEYTRUDA 50 mg, poudre pour solution à diluer pour perfusion
Code ATC : L01FF02
Signification :
Déroulé du code ATC :
Ce médicament n'est pas commercialisé en France depuis moins de trois ans. Consultez votre médecin ou pharmacien et bien vérifier la date de péremption.
1. QU'EST CE QUE CE MEDICAMENT ?
KEYTRUDA contient la substance active pembrolizumab, qui est un anticorps monoclonal. KEYTRUDA fonctionne en aidant votre système immunitaire à combattre votre cancer.
KEYTRUDA est utilisé chez l’adulte pour traiter :
un type de cancer de la peau appelé mélanome
un type de cancer du poumon appelé cancer bronchique non à petites cellules
un type de cancer appelé lymphome de Hodgkin classique
un type de cancer appelé cancer de la vessie (carcinome urothélial)
un type de cancer de la tête et du cou appelé carcinome épidermoïde de la tête et du cou
un type de cancer du rein appelé carcinome à cellules rénales.
Les patients reçoivent KEYTRUDA lorsque leur cancer s’est étendu ou ne peut être retiré par chirurgie.
Les patients reçoivent KEYTRUDA pour contribuer à prévenir la récidive du cancer après avoir bénéficié d’une chirurgie destinée à retirer le mélanome (traitement adjuvant).
KEYTRUDA peut être donné en association à d’autres médicaments anti-cancéreux. Il est important que vous lisiez également les notices de ces autres médicaments. Si vous avez des questions sur ces médicaments, veuillez interroger votre médecin.
2. QUELLES SONT LES INFORMATIONS A CONNAITRE
Vous ne devez pas recevoir KEYTRUDA
si vous êtes allergique à pembrolizumab ou à l’un des autres composants contenus dans ce médicament (mentionnés dans la rubrique 6). Adressez-vous à votre médecin si vous n’êtes pas sûr.
Avertissements et précautions
Adressez-vous à votre médecin ou infirmier/ère avant de recevoir KEYTRUDA.
Avant de recevoir KEYTRUDA, informez votre médecin si vous :
avez une maladie auto-immune (une maladie dans laquelle votre corps attaque ses propres cellules)
avez une pneumonie ou une inflammation de vos poumons (appelée pneumopathie inflammatoire)
avez déjà reçu ipilimumab, un autre médicament pour traiter le mélanome et avez eu des effets indésirables graves à cause de ce médicament
avez eu une réaction allergique à d’autres traitements par anticorps monoclonal
avez ou avez eu une infection virale chronique du foie, y compris une hépatite B (VHB) ou une hépatite C (VHC)
avez une infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) ou un syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA)
avez une lésion du foie
avez une lésion du rein
avez eu une greffe d’organe solide ou une greffe de moelle osseuse (cellules souches) utilisant les cellules souches d’un donneur (allogénique)
En prenant KEYTRUDA, vous pouvez avoir certains effets indésirables graves. Ces effets indésirables peuvent parfois engager le pronostic vital et conduire au décès. Ces effets indésirables peuvent se produire à tout moment au cours du traitement ou même après la fin du traitement. Vous pouvez présenter plus d’un effet indésirable en même temps.
Si vous présentez l’un des symptômes suivants, veuillez appeler ou consulter immédiatement votre médecin. Votre médecin peut vous donner d’autres médicaments pour éviter des complications plus sévères et diminuer vos symptômes. Votre médecin peut supprimer la dose suivante de KEYTRUDA ou arrêter votre traitement par KEYTRUDA.
inflammation des poumons qui peut se manifester par un essoufflement, des douleurs thoraciques ou une toux
inflammation des intestins qui peut se manifester par des diarrhées ou des selles plus fréquentes qu’habituellement, des selles noires, goudronneuses, collantes ou des selles présentant du sang ou du mucus, des douleurs sévères/une sensibilité au ventre, des nausées, des vomissements
inflammation du foie qui peut se manifester par des nausées ou des vomissements, la sensation de manque d’appétit, des douleurs au côté droit du ventre, un jaunissement de la peau ou du blanc des yeux, des urines foncées, des saignements ou des bleus apparaissant plus facilement que d’habitude
inflammation des reins qui peut se manifester par des changements dans la quantité ou la couleur de votre urine
inflammation des glandes hormonales (en particulier de la thyroïde, de l’hypophyse et de la glande surrénale) qui peut se manifester par des battements rapides du cœur, une perte de poids, une augmentation de la transpiration, une prise de poids, une chute des cheveux, une sensation de froid, une constipation, une voix plus grave, des douleurs musculaires, des vertiges ou des malaises, des maux de tête persistants ou un mal de tête inhabituel
diabète de type 1 qui peut se manifester par une sensation de faim ou de soif plus importante que d’habitude, un besoin d’uriner plus fréquent, ou une perte de poids
inflammation des yeux qui peut se manifester par une modification de la vue
inflammation des muscles qui peut se manifester par une douleur ou une faiblesse musculaire
inflammation du muscle cardiaque qui peut se manifester par un essoufflement, des battements du cœur irréguliers, une sensation de fatigue ou une douleur dans la poitrine
inflammation du pancréas qui peut se manifester par une douleur abdominale, des nausées et vomissements
inflammation de la peau qui peut se manifester par un rash, des démangeaisons, des cloques, une desquamation ou des lésions et/ou des ulcères de la bouche ou des muqueuses nasale, de la gorge ou de la zone génitale
un trouble immunitaire qui peut affecter les poumons, la peau, les yeux et/ou les ganglions lymphatiques (sarcoïdose)
inflammation du cerveau, qui peut se manifester par une confusion, une fièvre, des problèmes de mémoire ou des convulsions (encéphalite)
réactions à la perfusion qui peuvent se manifester par un essoufflement, une démangeaison ou un rash, des vertiges ou de la fièvre
Complications, incluant une réaction du greffon contre l’hôte (GVH) chez des patients ayant reçu une greffe de moelle osseuse (cellules souches) utilisant les cellules souches d’un donneur (allogénique). Ces complications peuvent être sévères et entraîner la mort. Elles peuvent survenir si vous avez reçu ce type de greffe dans le passé ou si vous allez la recevoir dans le futur. Votre médecin surveillera l’apparition de signes et symptômes qui peuvent se manifester par un rash cutané, une inflammation du foie, des douleurs abdominales ou des diarrhées.
Enfants et adolescents
KEYTRUDA ne doit pas être utilisé chez les enfants et les adolescents âgés de moins de 18 ans.
Autres médicaments et KEYTRUDA
Informez votre médecin :
Si vous prenez d’autres médicaments qui affaiblissent votre système immunitaire. Ceux-ci peuvent être par exemple des corticostéroïdes, comme la prednisone. Ces médicaments peuvent interférer avec l’effet de KEYTRUDA. Cependant, une fois que vous êtes traité par KEYTRUDA, votre médecin peut vous donner des corticostéroïdes pour réduire les effets indésirables que vous pouvez avoir avec KEYTRUDA. Des corticostéroïdes peuvent aussi vous être donnés avant de recevoir KEYTRUDA en association à la chimiothérapie pour prévenir et/ou traiter les nausées, vomissements et autres effets indésirables causés par la chimiothérapie.
Si vous prenez, avez récemment pris ou pourriez prendre tout autre médicament.
Grossesse
Vous ne devez pas utiliser KEYTRUDA si vous êtes enceinte, à moins que votre médecin le recommande spécifiquement.
Si vous êtes enceinte, si vous pensez être enceinte ou planifiez d’avoir un bébé, informez votre médecin.
KEYTRUDA peut être nocif pour l’enfant à naître ou provoquer son décès.
Si vous êtes une femme susceptible d’être enceinte, vous devez utiliser une méthode efficace de contraception pendant toute la durée du traitement par KEYTRUDA et pendant au moins 4 mois après la dernière injection.
Allaitement
Si vous allaitez, informez votre médecin.
N’allaitez pas pendant votre traitement par KEYTRUDA.
On ne sait pas si KEYTRUDA passe dans le lait maternel.
Conduite de véhicules et utilisation de machines
Ne conduisez pas ou n'utilisez pas de machines après l’administration de KEYTRUDA, sauf si vous êtes certain de vous sentir bien. Les sensations de fatigue et de faiblesse sont des effets indésirables très fréquents lors du traitement par KEYTRUDA. Cela peut affecter votre capacité à conduire ou à utiliser des machines.
3. COMMENT UTILISER CE MEDICAMENT
KEYTRUDA vous sera administré en milieu hospitalier sous la surveillance d'un médecin expérimenté dans le traitement du cancer.
La dose recommandée de KEYTRUDA est soit 200 mg toutes les 3 semaines, soit 400 mg toutes les 6 semaines.
Votre médecin vous administrera KEYTRUDA par perfusion dans votre veine (IV) sur une durée d’environ 30 minutes.
Votre médecin décidera du nombre d’administrations dont vous avez besoin.
Si vous manquez un rendez-vous pour recevoir KEYTRUDA
Appelez immédiatement votre médecin pour convenir d’un nouveau rendez-vous.
Il est très important que vous ne manquiez pas une administration de ce médicament.
Si vous arrêtez de recevoir KEYTRUDA
Arrêter votre traitement peut stopper l'effet du médicament. N'interrompez pas le traitement par KEYTRUDA, sauf si vous en avez discuté avec votre médecin.
Si vous avez d’autres questions sur votre traitement, demandez à votre médecin.
Vous trouverez également ces informations dans la Carte de Signalement Patient qui vous a été remise par votre médecin. Il est important que vous conserviez cette Carte de Signalement et que vous la montriez à votre partenaire ou au personnel soignant.
4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES DE CE MEDICAMENT
Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde.
En prenant KEYTRUDA, vous pouvez avoir des effets indésirables graves. Voir la rubrique 2.
Les effets indésirables suivants ont été rapportés avec le pembrolizumab seul :
Très fréquents (peuvent affecter plus d'1 personne sur 10)
diminution du nombre de globules rouges
activité réduite de la glande thyroïde
sensation d’une baisse d’appétit
mal de tête
essoufflement ; toux
diarrhées ; douleurs au ventre ; nausées ; vomissement ; constipation
démangeaisons ; éruption cutanée
douleur dans les muscles et les os ; douleur articulaire
sensation de fatigue ; fatigue ou faiblesse inhabituelles ; gonflement ; fièvre
Fréquents (peuvent affecter jusqu’à 1 personne sur 10)
infection pulmonaire
diminution du nombre de plaquettes (saignement ou bleus apparaissant plus facilement) ; diminution du nombre de globules blancs (lymphocytes)
réaction liée à la perfusion du médicament
activité excessive de la glande thyroïde ; bouffées de chaleur
diminution du sodium, du potassium ou du calcium dans le sang
troubles du sommeil
étourdissements ; inflammation des nerfs provoquant engourdissement, faiblesse, picotement ou brûlure dans les bras et les jambes ; manque d’énergie ; modification du goût
œil sec
rythme cardiaque anormal
pression sanguine élevée
inflammation des poumons
inflammation des intestins ; bouche sèche
éruption cutanée rouge et en relief, parfois avec des bulles ; zones de peau ayant perdu leur couleur ; peau sèche, qui démange ; perte de cheveux ; problèmes de peau de type acné
douleur ou sensibilité musculaire ; douleur des bras ou des jambes ; douleur des articulations avec gonflement
frissons ; maladie pseudo-grippale
augmentation des taux sanguins d’enzymes du foie ; augmentation du calcium dans le sang ; anomalie dans les tests de la fonction rénale
Peu fréquents (peuvent affecter jusqu’à 1 personne sur 100)
diminution du nombre de globules blancs (neutrophiles, leucocytes et éosinophiles)
trouble immunitaire pouvant affecter les poumons, la peau, les yeux et/ou des ganglions lymphatiques (sarcoïdose)
inflammation de l’hypophyse, glande située à la base du cerveau ; diminution de la sécrétion d’hormones produites par les glandes surrénales ; inflammation de la thyroïde
diabète de type 1
convulsions
inflammation des yeux ; douleur, irritation, démangeaison ou rougeur des yeux ; sensibilité désagréable à la lumière ; vision de taches
inflammation de l’enveloppe du cœur ; accumulation de liquide autour du cœur
inflammation du pancréas
inflammation du foie
excroissance cutanée avec épaississement de la peau, parfois squameuse ; inflammation de la peau ; changement de couleur des cheveux ; petites bosses ou boutons ou lésions cutanés
inflammation de la gaine qui entoure les tendons
inflammation des reins
augmentation de l’amylase, enzyme qui dégrade l’amidon
Rares (peuvent affecter jusqu’à 1 personne sur 1 000)
réponse inflammatoire contre les plaquettes ou les globules rouges ; sensation de faiblesse, d’étourdissement, d’essoufflement, ou si votre peau semble pâle (signes d’un faible taux de globules rouges, possiblement en raison d’un type d’anémie appelée érythroblastopénie) ; une maladie appelée lymphohistiocytose hémophagocytaire dans laquelle le système immunitaire fabrique un trop grand nombre de cellules luttant contre l’infection appelées histiocytes et lymphocytes qui peuvent provoquer divers symptômes
inflammation transitoire des nerfs provoquant douleur, faiblesse et paralysie des extrémités ; faiblesse et fatigabilité musculaires
inflammation de la membrane autour de la moelle épinière et du cerveau, pouvant se traduire par une raideur de la nuque, des maux de tête, de la fièvre, une sensibilité oculaire à la lumière, des nausées ou des vomissements (méningite) ; inflammation du cerveau qui peut se manifester par une confusion, une fièvre, des problèmes de mémoire ou des convulsions (encéphalite)
inflammation du muscle cardiaque qui peut se manifester par un essoufflement, des battements du cœur irréguliers, une sensation de fatigue ou une douleur dans la poitrine
trou dans l’intestin grêle
boutons rouges, sensibles sous la peau
démangeaisons, cloques, desquamation ou lésions et/ou ulcères de la bouche ou des muqueuses nasale, de la gorge ou de la zone génitale (nécrolyse épidermique toxique ou syndrome de Stevens-Johnson)
Les effets indésirables suivants ont été rapportés dans les essais cliniques avec pembrolizumab en association à la chimiothérapie :
Très fréquents (peuvent affecter plus d'1 personne sur 10)
diminution du nombre de globules rouges
diminution du nombre de globules blancs ; diminution du nombre de plaquettes (saignement ou bleus apparaissant plus facilement)
diminution du potassium dans le sang ; sensation d’une baisse d’appétit
étourdissements ; mal de tête ; inflammation des nerfs provoquant engourdissement, faiblesse, picotement ou brûlure dans les bras et les jambes ; modification du goût
souffle court ; toux
diarrhée ; nausées ; vomissements ; constipation ; douleur au ventre
éruption cutanée ; démangeaisons ; chute de cheveux
douleur dans les muscles et les os ; douleur des articulations
sensation de fatigue ou de faiblesse inhabituelles ; gonflement ; fièvre
anomalie des tests de la fonction rénale
Fréquents (peuvent affecter jusqu’à 1 personne sur 10)
infection pulmonaire
diminution du nombre de globules blancs (neutrophiles) avec une fièvre
réaction liée à la perfusion du médicament
problèmes au niveau de la glande thyroïde
diminution du sodium ou du calcium dans le sang
troubles du sommeil
œil sec
rythme cardiaque anormal
hypertension
inflammation des poumons
inflammation des intestins ; bouche sèche
éruption cutanée rouge et en relief, parfois avec des bulles
douleur, courbatures ou sensibilité musculaires ; douleur des articulations avec gonflement ; douleur des bras ou des jambes
inflammation des reins ; atteinte rénale soudaine
frissons ; maladie pseudo-grippale
augmentation du calcium dans le sang ; augmentation des taux sanguins d’enzymes du foie
Peu fréquents (peuvent affecter jusqu’à 1 personne sur 100)
inflammation de l’hypophyse, glande située à la base du cerveau ; inflammation de la thyroïde ; diminution de la sécrétion d’hormones produites par les glandes surrénales
diabète de type I
convulsions
accumulation de liquide autour du cœur
inflammation du pancréas
inflammation du foie
excroissance cutanée avec épaississement de la peau, parfois squameuse ; problèmes de peau de type acné ; inflammation de la peau ; zones de peau ayant perdu leur couleur
inflammation de la gaine qui entoure les tendons
augmentation des concentrations de l’amylase, une enzyme qui dégrade l’amidon ; augmentation de la bilirubine dans le sang
Rares (peuvent affecter jusqu’à 1 personne sur 1 000) diminution du nombre de globules blancs (éosinophiles)
inflammation du muscle cardiaque qui peut se manifester par un essoufflement, des battements du cœur irréguliers, une sensation de fatigue ou une douleur dans la poitrine ; inflammation de l’enveloppe du cœur
changement de couleur des cheveux ; peau sèche, qui démange ; petites bosses ou boutons ou lésions cutanés
Les effets indésirables suivants ont été rapportés dans les essais cliniques avec pembrolizumab en association à l’axitinib :
Très fréquents (peuvent affecter plus d’1 personne sur 10)
problèmes au niveau de la glande thyroïde
sensation d’une baisse d’appétit
mal de tête ; modification du goût
hypertension
souffle court ; toux ; enrouement
diarrhée ; douleur au ventre ; nausées ; vomissements ; constipation
cloques ou éruption cutanée sur la paume des mains ou la plante des pieds ; éruption cutanée ; démangeaisons
sensation de fatigue ou de faiblesse inhabituelles ; fièvre
augmentation des taux sanguins des enzymes du foie ; anomalie des tests de la fonction rénale
douleur dans les muscles et les os ; douleur ou sensibilité articulaire ou musculaire ; douleur des bras ou des jambes
Fréquents (peuvent affecter jusqu’à 1 personne sur 10)
infection pulmonaire
diminution du nombre de globules rouges, diminution du nombre de globules blancs (neutrophiles, leucocytes), diminution du nombre de plaquettes (saignement ou bleus apparaissant plus facilement)
réaction liée à la perfusion du médicament
inflammation de l’hypophyse, glande située à la base du cerveau ; inflammation de la thyroïde ; diminution de la sécrétion d’hormones produites par les glandes surrénales
diminution du potassium, du sodium ou du calcium dans le sang
troubles du sommeil
étourdissements ; manque d’énergie ; inflammation des nerfs provoquant engourdissement, faiblesse, picotement ou brûlure dans les bras et les jambes
œil sec
rythme cardiaque anormal
inflammation des poumons
inflammation des intestins ; bouche sèche
éruption cutanée rouge et en relief, parfois avec des bulles ; problème de peau de type acné ; inflammation de la peau ; peau sèche, qui démange ; perte des cheveux
inflammation du foie
douleur, courbatures ou sensibilité musculaires ; douleur des articulations ou des muscles avec gonflement ; inflammation de la gaine qui entoure les tendons
atteinte rénale soudaine ; inflammation des reins
gonflement ; maladie pseudo-grippale ; frissons
augmentation du calcium dans le sang ; augmentation des taux sanguins des enzymes du foie
Peu fréquents (peuvent affecter jusqu’à 1 personne sur 100)
diminution du nombre de globules blancs (lymphocytes et éosinophiles)
diabète de type I
un état dans lequel les muscles deviennent faibles et se fatiguent facilement
inflammation du muscle cardiaque, qui peut se présenter comme un essoufflement, des battements irréguliers, une sensation de fatigue ou une douleur thoracique
inflammation des yeux ; douleur, irritation, démangeaison ou rougeur des yeux ; sensibilité désagréable à la lumière ; vision de taches
inflammation du pancréas
changements de couleur des cheveux ; épaississement de la peau, parfois squameuse, excroissance cutanée ; petites bosses, boutons ou lésions cutanés ; zones de peau ayant perdu leur couleur
augmentation des concentrations de l’amylase, une enzyme qui dégrade l’amidon
Déclaration des effets secondaires
Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration décrit en Annexe V . En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament.
5. COMMENT CONSERVER CE MEDICAMENT ?
Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants.
N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur la boîte et l’étiquette du flacon après EXP. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois.
A conserver au réfrigérateur (2°C - 8°C).
D'un point de vue microbiologique, la solution reconstituée ou diluée doit être utilisée immédiatement. La solution reconstituée ou diluée ne doit pas être congelée. Si elle n’est pas utilisée immédiatement, la stabilité chimique et physique de KEYTRUDA en cours d’utilisation a été démontrée pendant 96 heures entre 2°C et 8°C. Cette durée totale de 96 heures depuis la reconstitution peut inclure jusqu’à 6 heures à température ambiante (à 25°C ou en dessous). En cas de réfrigération, il faut laisser les flacons et/ou les poches de perfusion intraveineuse revenir à température ambiante avant utilisation.
Ne pas conserver de fraction non utilisée de la solution pour perfusion en vue de la réutiliser. Tout produit non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation locale.
6. CONTENU DE L'EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS
Que contient KEYTRUDA
La substance active est pembrolizumab. Un flacon contient 50 mg de pembrolizumab.
Après reconstitution, 1 mL de solution à diluer contient 25 mg de pembrolizumab.
Les autres composants sont la L-histidine, le chlorhydrate de L-histidine monohydraté, le saccharose et le polysorbate-80.
Qu'est ce que KEYTRUDA et contenu de l’emballage extérieur
KEYTRUDA est une poudre lyophilisée de couleur blanche à blanc cassé.
Il est disponible en boîte contenant 1 flacon en verre.
Laboratoire titulaire de l'Autorisation de Mise sur le Marché
MERCK SHARP & DOHME (PAYS-BAS)