Comparer deux médicaments
Mode d'emploi
Les médicaments peuvent interagir l'un avec l'autre et provoquer des effets collatéraux qui peuvent présenter des risques pour la santé ou annuler les effets positifs d'un, ou des deux médicaments. Ce sont les principes actifs des médicaments qui interagissent.
Le principe actif d'un médicament est indiqué par son code ATC, codification internationale gérée par l'OMS.
Les médicaments peuvent appartenir à des classes (ou catégories) thérapeutiques. Ce sont des classifications utilisées pour regrouper les différents types de médicaments en fonction de leur utilisation, leurs composants, leur mode d'enregistrement réglementaire. Si c'est le cas, la classe est indiquée dans le résultat de votre recherche.
Notre base de données "interaction de médicaments" s'appuie sur le thésaurus de l'ANSM. Néanmoins, si vous avez un doute sur l'interaction entre ces deux médicaments, consultez la base de données interactions médicamenteuses (rubrique Interactions Médicamenteuse du Menu) avec soit le principe actif soit sa classe thérapeutique).
Premier exemple d'utilisation :
Vous avez une prescription médicale comprenant du DIAMOX et du FLUCANOZOLE. Entrer comme premier médicament DIAMOX, choisissez le dosage et cliquer sur le bouton SELECTIONNER, puis entrez comme second médicament FLUCANOZOLE et choisissez celui qui vous a été prescrit parmi les nombreuses présentation et cliquer sur SELECTIONNER. Le résultat apparait (Pas d'interaction répertoriée pour ces deux médicaments.). Si vous inversez l'ordre des médicaments le résultat est le même.
Deuxième exemple d'utilisation :
Vous avez une prescription médicale comprenant de la COUMADINE et de l'ASPIRINE (plus probable vous avez mal à la tête et souhaitez prendre de l'aspirine). Entrer comme premier médicament COUMADINE, choisissez le dosage et cliquer sur le bouton SELECTIONNER, puis entrez comme second médicament ASPIRINE et choisissez celui qui vous a été prescrit, ou que vous souhaitez prendre, parmi les nombreuses présentation et cliquer sur SELECTIONNER. Le résultat apparait :
Correspondance trouvée entre les groupes thérapeutiques des deux médicaments (anticoagulants oraux et antiagrégants plaquettaires).
À savoir :
Augmentation du risque hémorragique.
Risque :
A prendre en compte
Cas particulier du MILLEPERTUIS : si vous prenez un complément alimentaire, une tisane, ou des gélules à base de Millepertuis, vous pouvez tester un médicament et entrer Millepertuis dans le deuxième médicament. En effet cette plante a de nombreuses contre-indications, notamment avec les antidépresseurs, qu'il faut vérifier avant de la consommer.
Rappel sur le code ATC
La classification ATC repose sur cinq niveaux de classement qui correspondent aux organes (ou systèmes d'organes) cibles, et aux propriétés thérapeutiques, pharmacologiques et chimiques des différents produits :
- Le premier niveau (première lettre) définit le groupe anatomique parmi 14 différents (de A à V)
- Le deuxième niveau, est un chiffre à 2 caractères décrivant la principale action thérapeutique du médicament
- Le troisième niveau est le sous-groupe thérapeutique ou pharmacologique, 1 lettre
- Le quatrième niveau précise la classe chimique du médicament, 1 lettre
- Le cinquième niveau précise le principe actif (qui est donc codé avec 7 caractères)
Pour en savoir plus consulter la vidéo
Pour connaitre l'ensemble des codes ATC consultez la base des codes ATC (sous menu de la rubrique Notices des médicaments)
Avertissement : l'interprétation des informations de cette base est du ressort des professionnels de santé, en cas de doute consultez votre pharmacien.
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Comparer deux médicaments
L'interprétation des informations de cette base est du ressort des professionnels de santé
Vous pouvez, à partir de deux noms de médicaments savoir si il y a un risque d'interaction de leurs principes actifs.
Si vous avez un doute sur l'interaction entre ces deux médicaments, consultez la base de données interactions médicamenteuses (rubrique Interactions Médicamenteuse du Menu) avec soit le principe actif soit sa classe thérapeutique).
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Le projet HandiConnect résulte d’une démarche collaborative réunissant des partenaires du monde institutionnel, associatif, médico social et sanitaire. HandiConnect fédère et mobilise à ce jour + de 150 experts pluridisciplinaires reconnus dans le champ du handicap et de la santé (Professionnels de santé, travailleurs sociaux, formateurs, membres d’associations représentatives, aidants, patients experts…). Ensemble ils co-construisent les outils et participent au développement du projet.
La vidéo de présentation
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> Comment préparer une consultation d’un patient polyhandicapé ?
> Pourquoi prévoir plus de temps pour une première consultation d’un patient polyhandicapé ?
> En quoi l'aidant va faciliter la consultation avec un patient polyhandicapé ?
> Y-a-t-il une sémiologie spécifique au polyhandicap ?
> Quelles sont les particularités et les troubles fréquemment associés au polyhandicap
> Quels sont les causes et les facteurs de risque du polyhandicap ?
> Que faire devant des parents inquiets du retard de développement de leur enfant ?
> Quels sont les acteurs du repérage et du diagnostic d'un polyhandicap ?
> Comment faciliter la première rencontre avec un patient TSA ?
> Pourquoi prévoir plus de temps pour une première consultation d’un patient avec autisme ?
> Être le médecin traitant d'un patient avec autisme (TSA) ?
> En quoi l'aidant va-il faciliter la consultation avec un patient autiste ?
> Comment prendre en charge la douleur chez un patient avec autisme ?
> Quelles sont les particularités fréquemment associées aux TSA ?
> Quelles sont les étiologies et les facteurs de risque des TSA ?
> Quels outils et professionnels pluridisciplinaires mobiliser pour évaluer le fonctionnement de l'enfant autiste ?
>Quelles sont les conséquences et répercussions pour la personne vivant avec un TSA ?
>Quels sont les leviers d'actions pour compenser ces difficultés ?
> Quels sont les impacts du handicap psychique sur le parcours de soins ?
> Comment accompagner aux soins somatiques ?
> Quelles sont les clés pour une première consultation ?
> Quels partenaires utiles soliciter en ambulatoire ?
> A quoi est due la forte prévalence du syndrome métabolique chez les personnes avec handicap psychique ?
> Comment prévenir et dépister le syndrome métabolique ?
> Quels réflexes avoir lors de la première consultation avec un enfant malvoyant ?
> Comment réussir une première consultation avec un patient malvoyant ?
> Que dois-je savoir avant une consultation avec un patient déficient visuel ?
> Quelles propositions thérapeutiques pour un patient déficient visuel - DMLA, Glaucome, Cataracte, Rétinopathie diabétique ?
> Quelles sont les étiologies les plus fréquentes de la déficience visuelle chez l 'adulte ?
> Quelles sont les étiologies les plus fréquentes de la déficience visuelle chez l'enfant ?
> Comment dépister une anomalie visuelle chez l’enfant ?
> Quels sont les facteurs de risque d'amblyopie organique et fonctionnelle chez l'enfant ?
> Comment réussir une consultation médicale avec un patient malvoyant ?
> Quels patients adresser systématiquement chez l'ophtalmologue?
> Quel dépistage pour les patients de plus de 50 ans ?
> Quels sont les critères de classification des surdités ?
> Quels autres troubles de l'audition rechercher face à une baisse de l'audition ?
> Quelle est la prévalence de la surdité chez l'enfant ? Chez l'adulte ?
> Dans quelles situations le patient doit-il être adressé aux urgences ?
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> Quels tests réalisables au cabinet pour orienter le diagnostic ?
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> Quels sont les tests réalisables au cabinet ?
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> Comment éviter l'aggravation de la surdité ? Qu'est-ce que "la surexposition aux bruits" ?
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> Quels sont les critères diagnostiques d'un trouble du développement intellectuel ?
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> Pourquoi est-il important de rechercher l'étiologie d'un trouble du développement intellectuel ?
> En cas de doute, vers qui orienter le patient ?
> Quelle est la démarche diagnostique ? Quels sont les outils d'aide au diagnostic ?
> Que permet le diagnostic étiologique ?
> Quels sont les problèmes somatiques les plus fréquents à surveiller chez un patient avec avec paralysie cérébrale?
> Comment établir une bonne alliance thérapeutique avec un patient avec paralysie cérébrale et/ou ses aidants?
> Quels sont les troubles associés au handicap moteur dans la paralysie cérébrale?
> Quelle prévalence et quelles étiologies pour la paralysie cérébrale?
> Qui contribue au repérage et à l'établissement du diagnostic de paralysie cérébrale ?
> Quels sont les outils de dépistage et de diagnostique ?
> Quels sont les objectifs de la première évaluation pluridisciplinaire ?
> Comment établir l’alliance thérapeutique ?
> Comment co construire le projet de soin ?
> Avec qui partager les informations médicales ?
> Comment recueillir le consentement selon le niveau de protection et d'autonomie du patient ?
> Comment les personnes dyscommunicantes expriment-elles leur douleur ?
> Quels moyens pour l'évaluation de la douleur ?
> Comment orienter l'examen clinique chez une personne qui ne peut s'exprimer ?
> Quels médicaments et moyens non pharmacologiques pour soulager les douleurs ?
> Quels sont les soins potentiellement douloureux ou anxiogènes ?
> Quels médicaments et moyens non pharmacologiques pour prévenir ces douleurs ?
> Quelles sont les mesures cliniques simples qui renseignent sur l'état nutritionnel de la personne ?
> Quels examens complémentaires pour aider au diagnostic de dénutrition ?
> Que corriger avant de modifier les apports nutritionnels ?
> Quand discuter la mise en place d'une alimentation entérale ?
> Comment adapter la téléconsultation aux besoins spécifiques du patient ?
> Comment organiser la téléconsultation ?
> Comment préparer un programme d'habituation aux soins ?
> Quelles sont les clés de sa réussite ?
Pour être en bonne santé, il faut avoir accès à des médicaments de qualité et à un prix abordable
Des millions d’Africains ne profitent pas des progrès réalisés par la science et la médecine modernes.
Des millions de personnes, dont des enfants, meurent de maladies pourtant guérissables. Dans le monde, on estime à deux milliards le nombre de personnes privées d’accès aux médicaments essentiels.
Médicaments de mauvaise qualité : quelle est leur origine ?
Il s’agit de médicaments qui ont été falsifiés ou bien qui répondent à des normes de qualité inférieure.Les médicaments falsifiés sont des produits médicaux délibérément contrefaits. Ces médicaments sont fabriqués, trafiqués et vendus par des criminels abusant de la confiance des clients.Les médicaments de qualité inférieure peuvent être le fruit de mauvaises méthodes de fabrication et de contrôle qualité lors du processus de production ou de distribution.
Des médicaments qui tuent
Les médicaments de mauvaise qualité sont la cause de décès et de maladies.
Les médicaments de mauvaise qualité, qu’ils soient falsifiés ou de qualité inférieure, constituent une menace pour la santé publique car ils peuvent provoquer des décès, déclencher d’autres maladies, favoriser la propagation de maladies au sein d’une communauté ou encore contribuer au développement d’une résistance aux antibiotiques.Les services de renseignement et de police ont établi un lien entre le trafic de faux médicaments et la criminalité organisée. Ces médicaments sont en effet introduits sur le marché de la même manière que le sont les drogues, les armes et le trafic d’êtres humains.
La criminalité transnationale organisée finance également le terrorisme, conduisant à accroître l'instabilité des pays et à fragiliser les structures étatiques.
MEDPRYM S'engage en sensibilisant ces utilisateurs sur le risque d'utilisation des médicaments non autorisés.
Grâce à notre base de données vous pouvez vérifier que le médicament que vous achetez ou utilisez est bien un médicament autorisé.
Vous disposez à tout moment de sa notice pour bien l'utiliser et éviter les effets indésirables.
Avec Medprym prenez votre santé en main et informez vous en visionnant les vidéos.
Par la Nouvelle Pharmacie de la Santé Santé Publique
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