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 Le projet HandiConnect résulte d’une démarche collaborative réunissant des partenaires du monde institutionnel, associatif, médico social et sanitaire. HandiConnect fédère et mobilise à ce jour + de 150 experts pluridisciplinaires reconnus dans le champ du handicap et de la santé (Professionnels de santé, travailleurs sociaux, formateurs, membres d’associations représentatives, aidants, patients experts…). Ensemble ils co-construisent les outils et participent au développement du projet.

 

La vidéo de présentation

Accès au site

 

Accès direct aux 62 fiches conseils pour les professionnels de santé.

H01 | Polyhandicap : Les points de vigilance clinique
> En tant que médecin traitant, quelles actions de surveillance mener pour un patient polyhandicapé ?
> Comment préparer une consultation d’un patient polyhandicapé ?
> Pourquoi prévoir plus de temps pour une première consultation d’un patient polyhandicapé ?
> En quoi l'aidant va faciliter la consultation avec un patient polyhandicapé ?
> Y-a-t-il une sémiologie spécifique au polyhandicap ?

 

H02 | Polyhandicap : Définition et particularités
> Qu'est ce que le polyhandicap ?
> Quelles sont les particularités et les troubles fréquemment associés au polyhandicap

 

H03 | Polyhandicap : Prévalence et étiologies
> Combien y-a-t-il de personnes polyhandicapées en France ?
> Quels sont les causes et les facteurs de risque du polyhandicap ?

 

H04 | Polyhandicap : diagnostic
> Que faire si l'enfant que j'examine présente des signes de régression de ses habiletés, un retard psychomoteur, une anomalie du tonus ?
> Que faire devant des parents inquiets du retard de développement de leur enfant ?
> Quels sont les acteurs du repérage et du diagnostic d'un polyhandicap ?
 
H10 | Troubles du spectre de l’autisme : Les points de vigilance clinique
> Comment préparer une consultation d’un patient avec autisme ?
> Comment faciliter la première rencontre avec un patient TSA ?
> Pourquoi prévoir plus de temps pour une première consultation d’un patient avec autisme ?
> Être le médecin traitant d'un patient avec autisme (TSA) ?
> En quoi l'aidant va-il faciliter la consultation avec un patient autiste ?
> Comment prendre en charge la douleur chez un patient avec autisme ?
 
H11 | Troubles du spectre de l’autisme : Définition et particularités
> Que sont les troubles du spectre de l'autisme (TSA) ?
> Quelles sont les particularités fréquemment associées aux TSA ?
H12 | Troubles du spectre de l’autisme : Prévalence et étiologies
> Quelle est la prévalence des Troubles du Spectre de l'Autisme (TSA) ?
> Quelles sont les étiologies et les facteurs de risque des TSA ?
 
H13E | Troubles du spectre de l’autisme : Dépistage chez l’enfant
> A quel âge les premiers signes évocateurs de l'autisme peuvent-ils se diagnostiquer ?
> Quels outils et professionnels pluridisciplinaires mobiliser pour évaluer le fonctionnement de l'enfant autiste ?
 
H15 | Troubles du spectre de l’autisme : La prise en charge diététique
>Quelles sont les particularités liées aux TSA potentiellement à l'origine de troubles alimentaires ?
>Quelles sont les conséquences et répercussions pour la personne vivant avec un TSA ?
>Quels sont les leviers d'actions pour compenser ces difficultés ?
 
H20 | Handicap psychique : accompagner aux soins somatiques
> Quels sont les facteurs de vulnérabilité liés au handicap psychique ?
> Quels sont les impacts du handicap psychique sur le parcours de soins ?
> Comment accompagner aux soins somatiques ?
> Quelles sont les clés pour une première consultation ?
> Quels partenaires utiles soliciter en ambulatoire ?
 
 
H22 | Handicap psychique et Syndrome métabolique
> Qu'est-ce que le syndrome métabolique ?
> A quoi est due la forte prévalence du syndrome métabolique chez les personnes avec handicap psychique ?
> Comment prévenir et dépister le syndrome métabolique ?
 
H30 | Handicap visuel : Les points de vigilance clinique chez l’enfant
> Comment orienter l'examen clinique avec un enfant malvoyant ?
> Quels réflexes avoir lors de la première consultation avec un enfant malvoyant ?
 
H31 | Handicap visuel : Les points de vigilance clinique chez l’adulte
> Comment préparer une consultation d’un patient avec une déficience visuelle ?
> Comment réussir une première consultation avec un patient malvoyant ?
> Que dois-je savoir avant une consultation avec un patient déficient visuel ?
> Quelles propositions thérapeutiques pour un patient déficient visuel - DMLA, Glaucome, Cataracte, Rétinopathie diabétique ?
 
H32 | Handicap visuel : Prévalence & étiologies chez l’adulte
> Quelle est la prévalence de la déficience visuelle chez l'adulte en France ?
> Quelles sont les étiologies les plus fréquentes de la déficience visuelle chez l 'adulte ?
 
H33 | Handicap visuel : Prévalence & étiologies chez l’enfant
> Quelle est la prévalence de la déficience visuelle chez l'enfant en France ?
> Quelles sont les étiologies les plus fréquentes de la déficience visuelle chez l'enfant ?
 
H34 | Handicap visuel : Dépistage chez l’enfant
> Quels sont les signes d'alerte de trouble de la vision chez mon patient enfant ?
> Comment dépister une anomalie visuelle chez l’enfant ?
> Quels sont les facteurs de risque d'amblyopie organique et fonctionnelle chez l'enfant ?
> Comment réussir une consultation médicale avec un patient malvoyant ?
 
H35 | Handicap visuel : Dépistage chez l’adulte
> Quels sont les signes d'alerte d'une déficience visuelle chez l'adulte ?
> Quels patients adresser systématiquement chez l'ophtalmologue?
> Quel dépistage pour les patients de plus de 50 ans ?
 
H41 | Handicap auditif : Définition, prévalence & sémantique des troubles de l’audition
> Quelle est la définition de la surdité ou déficience auditive ?
> Quels sont les critères de classification des surdités ?
> Quels autres troubles de l'audition rechercher face à une baisse de l'audition ?
> Quelle est la prévalence de la surdité chez l'enfant ? Chez l'adulte ?
 
H42 | Handicap auditif : Étiologies, diagnostics différentiels de la surdité – Points de vigilance
> Quelles sont les principales étiologies des surdités en fonction de l'âge, du type de surdité ?
> Dans quelles situations le patient doit-il être adressé aux urgences ?
> Quels sont les facteurs aggravant la surdité ?
> Comment éviter le surhandicap de la personne sourde ou malentendante ?
 
H43 | Handicap auditif : Dépistage et prévention chez l’enfant
> Comment est organisé le dépistage néonatal de la surdité ?
> Quels sont les signes évocateurs de surdité chez le jeune enfant ?
> Quels tests réalisables au cabinet pour orienter le diagnostic ?
> À qui adresser l'enfant suspect de surdité et sa famille ?
 
H44 | Handicap auditif : Dépistage et prévention chez l’adulte
> Quels sont les signes fonctionnels évocateurs d'une surdité chez l'adulte ?
> Quels sont les tests réalisables au cabinet ?
> Vers qui orienter la personne ?
> Comment éviter l'aggravation de la surdité ? Qu'est-ce que "la surexposition aux bruits" ?
 
H45 | Handicap auditif : Comment communiquer avec une personne sourde / malentendante ?
> Quelles sont les informations à recueillir, si possible, pour préparer une première consultation ?
> Quels relais en cas de difficultés de communication ?
> Comment communique la personne sourde/malentendante ?
> Comment faire appel à un aidant professionnel ?
 
H46 | Handicap auditif : Comment communiquer avec une personne sourde/malentendante ? La réhabilitation auditive
> Quelles sont les indications des audioprothèses, des implants ?
> Quelle place pour la rééducation orthophonique ?
 
H51 | Troubles du développement intellectuel (TDI) : Définition et particularités
> Quel est le lien entre troubles du développement intellectuel et troubles du neurodéveloppement ?
> Quels sont les critères diagnostiques d'un trouble du développement intellectuel ?
> Quels sont les pathologies et troubles souvent associés aux troubles du développement intellectuel ?
 
H52 | Troubles du développement intellectuel (TDI) : Prévalence et étiologies
> Quelle prévalence et quelles étiologies pour les troubles du développement intellectuel ?
> Pourquoi est-il important de rechercher l'étiologie d'un trouble du développement intellectuel ?
 
H53 | Troubles du développement intellectuel (TDI) : Repérage, dépistage et diagnostic
> Quels sont les signes d'alerte d'un trouble du développement intellectuel ?
> En cas de doute, vers qui orienter le patient ?
> Quelle est la démarche diagnostique ? Quels sont les outils d'aide au diagnostic ?
> Que permet le diagnostic étiologique ?
 
H60 | Paralysie Cérébrale (PC) : les points de vigilance clinique
> Quels réflexes avoir en consultation avec un patient avec paralysie cérébrale?
> Quels sont les problèmes somatiques les plus fréquents à surveiller chez un patient avec avec paralysie cérébrale?
> Comment établir une bonne alliance thérapeutique avec un patient avec paralysie cérébrale et/ou ses aidants?
 
H61 | Paralysie Cérébrale (PC) : définition, prévalence et étiologie
> Qu'est-ce que la paralysie cérébrale ?
> Quels sont les troubles associés au handicap moteur dans la paralysie cérébrale?
> Quelle prévalence et quelles étiologies pour la paralysie cérébrale?
 
H62 | Paralysie Cérébrale (PC) : repérage, dépistage et diagnostic
> Quels sont les signes évocateurs d'une paralysie cérébrale ?
> Qui contribue au repérage et à l'établissement du diagnostic de paralysie cérébrale ?
> Quels sont les outils de dépistage et de diagnostique ?
> Quels sont les objectifs de la première évaluation pluridisciplinaire ?
 
H63 | Paralysie cérébrale (PC) : repères pour la rééducation et la réadaptation fonctionnelles
> Quels objectifs pour l’accompagnement rééducatif des personnes avec paralysie cérébrale ?
> Comment établir l’alliance thérapeutique ?
> Comment co construire le projet de soin ?
 
F01 | Qui accompagne le patient en situation de handicap ?
> Proche-aidant, aidant professionnel, personne de confiance : qui fait quoi ?
> Avec qui partager les informations médicales ?
 
F02 | Les mesures de protection juridique des majeurs vulnérables et conséquences sur les soins
> Quels sont les 4 niveaux de protection juridique ?
> Comment recueillir le consentement selon le niveau de protection et d'autonomie du patient ?
 
F03 | Douleurs de la personne dyscommunicante: les repérer, les évaluer
> Quelles sont les personnes concernées ?
> Comment les personnes dyscommunicantes expriment-elles leur douleur ?
> Quels moyens pour l'évaluation de la douleur ?
 
F04 | Douleurs de la personne dyscommunicante : rechercher les causes, les soulager
> Quelles sont les pathologies douloureuses les plus fréquentes chez ces personnes ?
> Comment orienter l'examen clinique chez une personne qui ne peut s'exprimer ?
> Quels médicaments et moyens non pharmacologiques pour soulager les douleurs ?
 
F05 | Prévention de la douleur des soins chez la personne dyscommunicante
> Qu'est qu'une douleur procédurale ou douleur liée aux soins ?
> Quels sont les soins potentiellement douloureux ou anxiogènes ?
> Quels médicaments et moyens non pharmacologiques pour prévenir ces douleurs ?
 
F06 | Polyhandicap : diagnostic de la dénutrition
> Quels sont les critères définissant une dénutrition chez un enfant, un adulte polyhandicapés ?
> Quelles sont les mesures cliniques simples qui renseignent sur l'état nutritionnel de la personne ?
> Quels examens complémentaires pour aider au diagnostic de dénutrition ?
 
F07 | Polyhandicap : facteurs favorisant la dénutrition
> Quels sont les facteurs favorisant la dénutrition liés au polyhandicap, aux pathologies intercurrentes, à l'environnement ?
 
F08 | Polyhandicap : comment corriger une dénutrition ? L’adaptation nutritionnelle
> Qu'est qu'un programme de renutrition pour une personne polyhandicapée ?
> Que corriger avant de modifier les apports nutritionnels ?
> Quand discuter la mise en place d'une alimentation entérale ?
 
F09 | Réaliser une téléconsultation avec un patient en situation de handicap
> Quels sont les bénéfices de la téléconsultation ?
> Comment adapter la téléconsultation aux besoins spécifiques du patient ?
> Comment organiser la téléconsultation ?
 
F10 | L’habituation aux soins de la personne en situation de handicap
> Qu'est-ce que l'habituation aux soins ?
> Comment préparer un programme d'habituation aux soins ?
> Quelles sont les clés de sa réussite ?
 
 
 
 
 
 
 
 
 
S06b | Suivi gynécologique des femmes en situation de handicap_Annexe : check-list au moment de la prise de rendez-vous
>Quelles sont les informations utiles à recueillir au moment de la prise de rendez-vous ?
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Accès direct aux vidéos

 

Pour être en bonne santé, il faut avoir accès à des médicaments de qualité et à un prix abordable

Des millions d’Africains ne profitent pas des progrès réalisés par la science et la médecine modernes.
Des millions de personnes, dont des enfants, meurent de maladies pourtant guérissables.  Dans le monde, on estime à deux milliards le nombre de personnes privées d’accès aux médicaments essentiels.


Médicaments de mauvaise qualité : quelle est leur origine ?

Il s’agit de médicaments qui ont été falsifiés ou bien qui répondent à des normes de qualité inférieure.Les médicaments falsifiés sont des produits médicaux délibérément contrefaits. Ces médicaments sont fabriqués, trafiqués et vendus par des criminels abusant de la confiance des clients.Les médicaments de qualité inférieure peuvent être le fruit de mauvaises méthodes de fabrication et de contrôle qualité lors du processus de production ou de distribution.


Des médicaments qui tuent
Les médicaments de mauvaise qualité sont la cause de décès et de maladies.
Les médicaments de mauvaise qualité, qu’ils soient falsifiés ou de qualité inférieure, constituent une menace pour la santé publique car ils peuvent provoquer des décès, déclencher d’autres maladies, favoriser la propagation de maladies au sein d’une communauté ou encore contribuer au développement d’une résistance aux antibiotiques.Les services de renseignement et de police ont établi un lien entre le trafic de faux médicaments et la criminalité organisée. Ces médicaments sont en effet introduits sur le marché de la même manière que le sont les drogues, les armes et le trafic d’êtres humains.

La criminalité transnationale organisée finance également le terrorisme, conduisant à accroître l'instabilité des pays et à fragiliser les structures étatiques.

MEDPRYM S'engage en sensibilisant ces utilisateurs sur le risque d'utilisation des médicaments non autorisés.

Grâce à notre base de données vous pouvez vérifier que le médicament que vous achetez ou utilisez est bien un médicament autorisé.

Vous disposez à tout moment de sa notice pour bien l'utiliser et éviter les effets indésirables.

Avec Medprym prenez votre santé en main et informez vous en visionnant les vidéos.

 

 

 

Vidéos de Côte d'Ivoire

Par la Nouvelle Pharmacie de la Santé Santé Publique

 

 

 

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Mesures de protections essentielles

 Tenez-vous au courant des dernières informations sur la flambée de COVID-19, disponibles sur le site Web de l’OMS et auprès des autorités de santé publique nationales et locales. La COVID-19 continue de toucher surtout la population de la Chine, même si des flambées sévissent dans d’autres pays. La plupart des personnes infectées présentent des symptômes bénins et guérissent, mais d’autres peuvent avoir une forme plus grave. Prenez soin de votre santé et protégez les autres en suivant les conseils ci-après :

Se laver fréquemment les mains

Se laver fréquemment les mains avec une solution hydroalcoolique ou à l’eau et au savon

Pourquoi ? Se laver les mains avec une solution hydroalcoolique ou à l’eau et au savon tue le virus s’il est présent sur vos mains.

Éviter les contacts proches

Maintenir une distance d’au moins 1 mètre avec les autres personnes, en particulier si elles toussent, éternuent ou ont de la fièvre.

Pourquoi ? Lorsqu’une personne infectée par un virus respiratoire, comme la COVID-19, tousse ou éternue, elle projette de petites gouttelettes contenant le virus. Si vous êtes trop près, vous pouvez inhaler le virus.

Éviter de se toucher les yeux, le nez et la bouche.

Pourquoi? Les mains sont en contact avec de nombreuses surfaces qui peuvent être contaminées par le virus. Si vous vous touchez les yeux, le nez ou la bouche, vous risquez d’être en contact avec le virus présent sur ces surfaces.

Respecter les règles d’hygiène respiratoire

Se couvrir la bouche et le nez avec le pli du coude ou avec un mouchoir en cas de toux ou d’éternuement – jeter le mouchoir immédiatement après dans une poubelle fermée et se laver les mains avec une solution hydroalcoolique ou à l’eau et au savon.

Pourquoi ? Se couvrir la bouche et le nez en cas de toux ou d’éternuement permet d’éviter la propagation des virus et autres agents pathogènes.

Tenez-vous informé et suivez les conseils de votre médecin

Tenez-vous au courant des dernières évolutions concernant la COVID-19. Suivez les conseils de votre médecin, des autorités de santé nationales et locales ou de votre employeur pour savoir comment vous protéger et protéger les autres de la COVID-19.

Pourquoi ? Ce sont les autorités nationales et locales qui disposent des informations les plus récentes sur la propagation ou non de la COVID-19 dans la région où vous vous trouvez. Elles sont les mieux placées pour expliquer ce que les personnes dans votre région devraient faire pour se protéger.

Mesures de protection pour les personnes qui se trouvent ou qui se sont récemment rendues (au cours des 14 derniers jours) dans des régions où la COVID-19 se propage

  • Suivez les conseils présentés ci-dessus.
  • Si vous commencez à vous sentir mal, même si vous n’avez que des symptômes bénins comme des maux de tête et un faible écoulement nasal, restez chez vous jusqu’à la guérison. Pourquoi ? Éviter d’entrer en contact avec d’autres personnes et de se rendre dans des établissements de santé permettra à ces établissements de fonctionner plus efficacement et vous protègera, ainsi que les autres personnes, de la COVID-19 et d’autres maladies virales.
  • En cas de fièvre, de toux et de difficultés respiratoires, consultez un médecin sans tarder, car il peut s’agir d’une infection respiratoire ou d’une autre affection grave. Appelez votre médecin et indiquez-lui si vous avez récemment voyagé ou été en contact avec des voyageurs. Pourquoi ? Si vous l’appelez, votre médecin pourra vous orienter rapidement vers l’établissement de santé le plus adapté. En outre, cela vous protègera et évitera la propagation de la COVID-19 et d’autres maladies virales.

 

Questions fréquentes

Qu’est-ce que le Coronavirus COVID-19 ?

Les Coronavirus sont une grande famille de virus, qui provoquent des maladies allant d’un simple rhume (certains virus saisonniers sont des Coronavirus) à des pathologies plus sévères comme le MERS-COV ou le SRAS.

Le virus identifié en janvier 2020 en Chine est un nouveau Coronavirus. La maladie provoquée par ce Coronavirus a été nommée SARS-CoV-2. par l’Organisation mondiale de la Santé - OMS.
Depuis le 11 mars 2020, l’OMS qualifie la situation mondiale du COVID-19 de pandémie ; c’est-à-dire que l’épidémie est désormais mondiale.

Quels sont les symptômes du Coronavirus COVID-19 ?

Les symptômes principaux sont la fièvre ou la sensation de fièvre et des signes de difficultés respiratoires de type toux ou essoufflement.
La perte brutale de l’odorat, sans obstruction nasale et disparition totale du goût sont également des symptômes qui ont été observés chez les malades.

Faut-il éviter de se serrer la main à cause du nouveau coronavirus ?

 Oui. On peut contracter les virus respiratoires en serrant la main à quelqu’un puis en se touchant les yeux, le nez ou la bouche. Saluez d’un signe de la main ou de la tête, ou encore en vous inclinant.

Comment saluer une personne pour éviter d’attraper le nouveau coronavirus ?

Le moyen le plus sûr de se saluer pour prévenir la COVID-19 est d’éviter les contacts physiques. On peut saluer d’un signe de la main ou de la tête, ou encore en s’inclinant.

Le port de gants en caoutchouc dans les lieux publics permet-il d’éviter l’infection par le nouveau coronavirus ?

 Non. Le fait de se laver les mains régulièrement protège mieux contre la COVID-19 que le port de gants en caoutchouc. Le virus peut se trouver sur les gants et il y a un risque de contamination si vous vous touchez le visage avec les gants.

Comment se transmet le Coronavirus COVID-19 ?

La maladie se transmet par les gouttelettes (sécrétions projetées lors d’éternuements ou de la toux). On considère donc qu’un contact étroit avec une personne malade est nécessaire pour transmettre la maladie : même lieu de vie, contact direct à moins d’un mètre lors d’une toux, d’un éternuement ou une discussion en l’absence de mesures de protection.  Un des autres vecteurs privilégiés de la transmission du virus est le contact des mains non lavées. 
C’est donc pourquoi les gestes barrières et les mesures de distanciation sociale sont indispensables pour se protéger de la maladie.

Quel est le délai d’incubation de la maladie ?

Le délai d’incubation, période entre la contamination et l’apparition des premiers symptômes.  Le délai d’incubation du coronavirus COVID-19 est de 3 à 5 jours en général, il peut toutefois s’étendre jusqu’à 14 jours. Pendant cette période, le sujet peut être contagieux : il peut être porteur du virus avant l’apparition des symptômes ou à l’apparition de signaux faibles.

Existe-t-il un vaccin ?

Il n’existe pas de vaccin contre le Coronavirus COVID-19 pour le moment. Plusieurs traitements sont en cours d’évaluation en France, en lien avec l’OMS pour être utilisés contre le Coronavirus COVID-19. Dans l’attente, le traitement est symptomatique.

La prise d'anti-inflammatoires (ibuprofène, cortisone...) pourrait être un facteur d'aggravation de l'infection.

De manière générale, l’auto-médication par anti-inflammatoires doit être proscrite. De plus, il semblerait que les anti-inflammatoires pourraient être un facteur d’aggravation de l'infection. Ainsi, dans le cas d’une infection au coronavirus COVID-19, le paracétamol est recommandé. Si vous êtes déjà sous anti-inflammatoires ou en cas de doute, demandez conseil à votre médecin.

Le virus a-t-il muté ? 

Oui. Il mute tout les jours mais seuls quelques variants sont plus contaminants, les vaccins à ARM sont pour l'instant plus efficaces pou rles bloquer.

Le virus circule-t-il dans l’air ?
Non. Le coronavirus responsable du COVID-19 se transmet par les gouttelettes, qui sont les sécrétions respiratoires qu’on émet quand on tousse, qu’on éternue ou qu’on parle. Le virus ne circule pas dans l’air mais peut atteindre une personne à proximité (<1 mètre) ou se fixer sur une surface souillée par les gouttelettes, comme les mains ou les mouchoirs. C’est pour cela qu’il est important de respecter les gestes barrières et les mesures de distanciation sociale.

Combien de temps le Covid-19 peut-il vivre sur une surface ?
Dans des conditions propices à sa survie, le virus pourrait survivre, sous forme de traces, plusieurs jours sur une surface. Toutefois, ce n’est pas parce qu’un peu de virus survit que cela est suffisant pour contaminer une personne qui toucherait cette surface. En effet, au bout de quelques heures, la grande majorité du virus meurt et n’est probablement plus contagieux. Pour rappel, la grande transmissibilité du coronavirus COVID-19 n’est pas liée à sa survie sur les surfaces, mais à sa transmission quand on tousse, qu’on éternue , qu’on discute ou par les gouttelettes expulsées et transmises par les mains. C’est pour cela qu’il est important de respecter les gestes barrières et les mesures de distanciation sociale.

Les moustiques peuvent-ils transmettre le virus ?
Non il n’existe aucune preuve de transmission du virus à travers les moustiques, ou tout autre animal d’ailleurs. Le coronavirus COVID-19 se transmet entre humains, via les gouttelettes respiratoires. 

Peut-on attraper la maladie par l’eau ?

A ce jour, il n’a pas été rapporté de contamination par l’eau. Cette maladie est à transmission interhumaine par la voie des gouttelettes (toux, éternuements). La source originelle du virus n’est pas encore identifiée mais semble d’origine animale.

Existe-t-il des risques liés aux animaux domestiques (d'élevage et familiers) ?

Il n'existe aucune preuve que les animaux domestiques jouent un rôle dans la propagation coronavirus COVID-19. De plus, le passage du coronavirus COVID-19 de l’être humain vers une autre espèce animale semble peu probable.

Existe-t-il des risques liés aux aliments ?

Au vu des informations disponibles, le passage du Coronavirus COVID-19 de l’être humain vers une autre espèce animale semble actuellement peu probable, et la possible contamination des denrées alimentaires d’origine animale (DAOA) à partir d’un animal infecté par le COVID-19 est exclue. Les aliments crus ou peu cuits ne présentent pas de risques de transmission d’infection particuliers, dès lors que les bonnes règles d’hygiène habituelles sont respectées lors de la manipulation et de la préparation des denrées alimentaires.

Les femmes enceintes sont-elles des personnes à risque ?
Les femmes enceintes sont de manière générale des sujets fragiles et qui nécessitent une grande attention. Les premières informations sur l’impact du coronavirus chez les femmes enceintes et le fœtus sont cependant rassurantes. Toutefois, par précaution, le Haut Conseil de Santé Publique a classé les femmes enceintes  à partir du 3ème trimestre comme personnes à risque.

Faire face au stress durant la flambée de maladie à coronavirus COVID-19

Le stress peut induire différentes réactions chez les enfants. Ils peuvent ainsi être plus collants, anxieux, renfermés, en colère ou agités, ou souffrir d’incontinence nocturne, entre autres.

Répondez avec bienveillance aux réactions de vos enfants, écoutez leurs inquiétudes et donnez-leur encore plus d’amour et d’attention.

Dans les moments difficiles, les enfants ont besoin de l’amour et de l’attention des adultes. Donnez-leur plus de temps et d’attention.

N’oubliez pas d’écouter vos enfants. Parlez-leur avec gentillesse et rassurez-les.

Si possible, donnez-leur l’occasion de jouer et de se détendre.

Efforcez-vous de tenir les enfants proches de leurs parents et de leur famille et évitez autant que possible de les séparer des personnes qui s’occupent d’eux. En cas de séparation (par exemple pour une hospitalisation), veillez à garantir un contact régulier (par exemple par téléphone) et à les rassurer.

Conservez autant que possible vos habitudes et vos horaires ou veillez à en instaurer de nouveaux dans un nouvel environnement, notamment pour l’école et l’apprentissage, mais aussi pour jouer et se détendre en toute sécurité.

Présentez les faits à propos des événements, expliquez ce qui se passe en ce moment et donnez-leur des informations claires sur la manière de réduire les risques d’infection par la maladie, en adaptant votre discours à leur âge pour qu’ils puissent comprendre.

Cela suppose aussi de communiquer des informations en se montrant rassurant sur ce qui pourrait se passer (par exemple un membre de la famille ou l’enfant lui-même pourrait ne pas se sentir bien et devoir aller à l’hôpital pour quelque temps afin que les docteurs puissent l’aider à aller mieux).

 

 

Medprym est une plate-forme pour la santé numérique. Elle permet à ses utilisateurs d'accéder à une base de données sur les médicaments (validés dans l'Union Européenne), à des fiches santé et à des services numériques de santé (consultation à distance ...).

Les professionnels doivent s'enregistrer pour accéder à des services complémentaires de formation ou des services de santé digitales spécifiques.

Medprym dispose d'une version générique et sera décliné par pays selon l'accord des autorités sanitaires. Medprym a été développé pour permettre aux patients et professionnels africains un accès aisé, par téléphone mobile ou tablette, aux services de santé mais peut être utilisé par toute personne ayant besoin d'un accès rapide et mobile aux informations de santé.

Le site medicamentsenegal.org est le premier site dérivé pour le Sénégal.

Bien sûr Medprym peut-être consulté via un PC et utilisé dans tous pays de langue française. Medprym est une application PWA, lorsque vous la consultez depuis un mobile, via un navigateur, elle propose d'installer une icone d'accès sur l'écran d'accueil. Plus la peine de passer par un store....

Medprym est en langue française, les versions en d'autres langues sont en cours de développement.

Responsable de la publication, fondateur de MedPrym : Jean Bernard GRAMUNT

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